Devenir son propre boss : Les clés pour réussir sans stress
L’entrepreneuriat n’est pas réservé aux surhommes ou aux superhéroïnes. À notre échelle, on peut facilement lancer son projet — à condition de connaître les règles de base qui régissent le monde de l’entreprise. Car une erreur peut rapidement vous coûter… de l’argent. Aujourd’hui, Kamino devient un entrepreneur à succès. Voici tous nos secrets, c’est cadeau.
Entrepreneuriat parci, entrepreneuriat par-là...
Le recyclage n’a jamais été aussi simple depuis que les règles du jeu ont changé et que les centres de tri ont été modernisés en 2019. Dorénavant, une multitude de nouveaux plastiques, y compris les sacs, films plastiques, barquettes de yaourt, capsules de café, et bien d’autres, peuvent être jetés dans votre bac à recyclage. Mais n’oublions pas les habitués : bouteilles et flacons en plastique, boîtes de conserve, papiers, et cartons.
L’entrepreneuriat, c’est un peu comme le côté lumineux et obscur de la Force. Du côté lumineux, être entrepreneur·e signifie être son propre patron, jouir d’une indépendance totale, gérer ses horaires comme bon nous semble, vivre de sa passion, avancer à son rythme, travailler avec les partenaires de son choix et orienter l’évolution de son entreprise selon ses envies. En gros, c’est être maître de son destin.
Mais attention, le côté obscur est aussi présent. En tant qu’entrepreneur·e, il faut enfiler différentes casquettes et métiers, faire face à une instabilité financière et sécuritaire (le chiffre d’affaires peut varier d’un mois à l’autre), assumer toutes les responsabilités, et démarcher les clients. Bref, on récolte le fruit de son travail, qu’il soit pourri ou non. Vous êtes à la fois le pilote, l’ingénieur et l’équipage.
Je débute par une micro entreprise
Pour démarrer, rien de mieux que la micro-entreprise, un statut parfait pour se lancer sans trop de risques. Il offre un plafond de chiffre d’affaires spécifique et une inscription gratuite sur le portail auto-entrepreneur. La micro-entreprise séduit par sa simplicité de fonctionnement et son régime micro-fiscal et micro-social. Il suffit de respecter la règle de 3 : déclarer votre chiffre d’affaires (mensuel ou trimestriel), payer vos cotisations et choisir votre régime d’imposition.
Vrai ou faux ?
En micro-entreprise, je suis exempté de TVA !
Vrai… et faux, cela dépend du chiffre d’affaires. On est redevable de la TVA lorsqu’on dépasse un certain seuil.
Pour les entrepreneur·es, la TVA nous donne un peu envie de nous arracher les cheveux. Mais ce qu’il faut retenir c’est ça : lorsque votre plafond de TVA est dépassé, alors il faudra ajouter une TVA dans vos factures. Le plus souvent elle est de 20% (mais cela dépend de votre activité).
Prenons un exemple :
Je facture 100€ à mon client.
Avant, ma facture était de 100€ HT.
Maintenant, ma facture est de 100€ + 20€ de TVA (pour un taux de 20%) = 120€. Lorsque je recevrai le paiement de ma facture, il faudra que je pense à bien déduire les 20€ car cet argent devra être directement payé à l’État lors de ma prochaine déclaration de TVA (et ça, c’est un autre et vaste sujet).
Ensuite, mon statut évolue !
Lorsque votre activité décolle et que vous commencez à ressentir le besoin d’un cadre plus structuré, il est temps de faire évoluer votre statut. Voici un aperçu des différents régimes possibles et leurs avantages et inconvénients :
Critère
Micro-entreprise
Entreprise individuelle
SARL/EURL
SAS/SASU
Nombre de salariés
0
Illimité
Illimité
Illimité
Possibilité de se verser un salaire
Non
Oui
Oui
Oui
Imposition
Sur le CA
Sur les bénéfices
IS
IS
Conclusion
Pour bien débuter votre aventure entrepreneuriale, n’hésitez pas à consulter des ressources clés comme le site de l’URSSAF auto-entrepreneur, les sites officiels du gouvernement et le portail auto-entrepreneur. Promis, ce n’est pas si compliqué. Une fois que vous comprenez les bases, tout se met en place. » Avec toutes les ressources en ligne et IRL à votre disposition, vous avancerez en toute sérénité !
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